Le 3 juin 1991, Marguerite Duras me donnait son dernier livre paru “L’amant de la Chine du Nord", dédicacé pour la première fois. Elle disait : "Pour mon amie Dominique Auvray, en souvenir d’une merveille entre toutes : celle d’un passé récent encore : quand on travaillait ensemble au Cinéma ». Ce portrait pour l’approcher, comme elle était : rieuse et sérieuse, vraie et provocatrice, attentive et catégorique mais avant tout jeune et libre.